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Qui es-tu ?

Anne Simonnot, nomade à l’Atelier des Médias depuis décembre 2012, parisienne d’origine, lyonnaise depuis 10 ans.

Rédactrice et photographe mais plus photographe que rédactrice maintenant. Auto entrepreneur à plein temps depuis 10 mois.

Mannequin ado, j’ai commencé à travailler jeune (13 ans). Puis j’ai arrêté de grandir et je me suis dit qu’il fallait sérieusement se consacrer aux études. J’ai décroché un DUT en publicité à l’IUT de Paris (même filière que Delarue, moins célèbre que lui mais espère vivre un peu plus longtemps…) et, pour terminer, un DEA à l’Institut Français de Presse.

Premières expériences dans la presse : de La Croix / Bayard Presse à Max Magazine, mensuel masculin pour lequel je réalisais les micro-trottoirs sur des sujets plus ou moins graveleux !

Depuis mon arrivée à Lyon en 2003, je travaille essentiellement pour le secteur public. J’ai effectué plusieurs missions en tant que rédactrice et chargée de communication pour la Région Rhône-Alpes. J’ai notamment suivi le dossier de construction de l’hôtel de région à Confluence.

Après avoir été responsable des publications de la mairie de Saint-Genis-Laval pendant 7 mois, j’ai finalement décidé de continuer ce type de mission en tant qu’indépendant.

Que fais-tu ?

Rédactrice et photographe, je réalise des reportages en fournissant, à la fois ou au choix, des mots et des images à des entreprises, des collectivités ou des particuliers. Mes domaines d’intervention et spécialités : politique de la ville, urbanisme, évènements culturels, portraits.

Dernière belle expérience : déballer et accrocher avec émotion les oeuvres de Marc Riboud pour l’exposition organisée par la Mairie de Saint-Genis-Laval puis photographier pendant une semaine les visiteurs venus admirer ses clichés.

Future belle expérience : dans le cadre d’un marché, suivre un territoire en mutation en réalisant, pour la Ville de Lyon, des reportages sur le quartier et les habitants.

Pourquoi le co working ?

Pour rompre l’isolement ! Après avoir passé plusieurs mois à travailler à domicile, je commençais à dépérir ! (Et puis qui pourrait sérieusement partager son lieu de travail avec une ado de 16 ans ?).

J’avais lu un article sur l’Atelier des Médias, et étant par nature très « co » : co mmunication, co llaboration, co production, co voiturage, co habitation, je suis passée co luncher plusieurs mardis avec les co workers. J’ai adoré l’accueil, l’état d’esprit, l’ambiance. En décembre, par chance, des places se sont libérées et j’ai pu intégrer le groupe et les locaux. Depuis, tout est plus simple et rassurant. Je ne me sens plus seule et cerise sur le gâteau, j’apprends enfin à jouer aux fléchettes pendant la pause !

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